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Publié le 28/07/2010 09:15 | LaDepeche.fr

« Je suis passionné par les couteaux dit-il en préambule. Ma première pièce représente un avion gros porteur, le Beluga, avec le manche en noyer. Puis le déclic est venu de l'hélice du Bréguet 1920, exposée dans le hall d'entrée de Ratier. »

Si son premier couteau était l'expression même de l'art populaire, ce sont maintenant de véritables œuvres d'art que Fabrice Chassint, ajusteur de métier, se prépare à commercialiser. Il concrétise enfin ses projets. « J'avançais dans mes recherches mais déposer mes modèles à l'INPI (Institut National de la Protection Industrielle) coûte cher. Et puis, il m'a fallu 3 ans et 8 couteaux différents pour arriver au « Figeac », le modèle enfin déposé. D'ici peu je vais mettre à la vente une première série de 100 pièces, toutes numérotées, dans une boîte spéciale ».

Fabrice qui ne travaille plus que 20 heures par semaine à Ratier s'est installé ferronnier d'art. « Ce couteau, le Figeac, représente le lien étroit que la ville entretient avec l'usine Ratier. Je tenais à leur rendre hommage. », termine Francis.

www.couteaux-chassint.fr